François Hollande: Légalisation du cannabis à usage médical et récréatif en France.

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Elle sera remise à François Hollande.

 

 Drogues. Vous n’avez rien compris.

 de Paul-Antoine Pichard, photographe.

Jamais par la répression vous n’obtiendrez la paix sociale. Depuis la nuit des temps et dans toutes civilisations ou cultures, l’homme consomme des produits psychotropes. Je vous épargnerai leurs énumérations. Lutter par la répression pour tenter d’éradiquer ces consommations intrinsèques à l’être humain est vaine.
La France s’entête dans une politique du tout répressif et criminalise les usagés.
La toxicomanie n’est pas un choix mais une maladie reconnue par l’OMS, elle est progressive, incurable et fatale, on ne parle pas de « guérison » mais de « rétablissement ». Elle se soigne et la place d’un toxicomane est dans un centre de soin et non en prison.
La prohibition entraîne moult dérives. Mafia, trafic, vol, délinquance, corruption policière, insécurité, épidémie de VIH ou Hépatite C, maladie du charbon, etc. La tension qu’il règne dans ce que vous nommez avec pudeur « les quartiers » est le fruit de la pénalisation. Il faudra combien de mort de gamin pour des histoires de 1000, 2000 € ? Il faut arrêter de fantasmer, un dealer de cannabis gagne autour de 1500 € par mois et non par jour. Au bout, il y a toujours la prison.
C’est un « métier » extrêmement stressant, sous haute tension. Il est temps de lever les tabous et de se mettre autour d’une table et de ne pas faire de la pénalisation un enjeu électoral mais un problème de santé publique, un constat d’urgence, à régler avec les personnes compétentes, pas de référendum mais une concertation entre acteurs concernés : politiques, psychiatres, addictologues, police, douanes, usagers… Je n’ai pas choisi d’être toxicomane. Victime de deux agressions sexuelles à l’âge de dix et douze ans j’ai commencé à avoir des angoisses terribles.
Pour les soigner j’ai sniffer de la colle à rustine et du trichloréthylène, eau écarlate, K2R… A l’âge de douze ans, cela me permettait d’affronter ma phobie scolaire, ma peur de l’adulte. A quatorze ans le cannabis, avant même la consommation de tabac puis l’alcool sur du Tranxène ou Lexomil.
A dix-sept je découvre l’héroïne, le soulagement, la fin de mes angoisses, de mes cauchemars et puis l’enfer de la dépendance physique comme psychique. J’en ai pris pour seize ans, l’horreur absolue. Un jour j’ai poussé la porte du centre « Dune » à Cergy, Val d’Oise. Là, j’y ai rencontré un psychiatre qui m’a mis sous méthadone, en quatre ans je suis passé de cent dix milligramme par jour à zéro. Mais je n’arrivais toujours pas à m’échapper de mes traumatismes infantiles. Je suis tombé dans l’alcool (Un litre de rhum à 55 ° par jour), plus de dealers, de trafics foireux, d’angoisse de la police, de la répression.
Mais l’alcool est une drogue dure en vente libre et il n’y a pas de palliatif, mon alcoolisme m’a fait perdre toute dignité. La naissance de ma fille et l’amour de ma femme m’ont sauvé. On m’a mis sous Baclofène, fréquenté les Alcooliques Anonymes. Je suis abstinent depuis trois ans après deux cures en clinique psychiatrique.
La prohibition et le tout répressif ne m’ont pas épargné une descente aux enfers. Regardons autour de nous ce qu’il se passe, savez-vous que le pays qui consomme le moins de cannabis en Europe sont les Pays-Bas. Que la consommation d’alcool et de tabac en France est en décroissance, nous sommes passé de 26 litres d’alcool pur par habitant en 1961 à 12,9 litres en 2006 (Source OMS).
Il semblerait que la prévention des drogues légales porte ses fruits. Que la consommation de cocaïne en Europe explose, multiplié par 6,3 entre 2000 et 2007 (Source OCTRIS), alors que nous sommes dans le tout répressif, il en est de même pour le cannabis, en France, en 1993, 25 % des plus de dix-sept ans avouaient avoir fumé du cannabis, en 2005, 53% (Sources INPES, MILDT). Nous sommes ainsi devenu le premier pays consommateur d’Europe, 1,2 million de français consomment plus de dix joints par mois (source OFDT).
La prohibition est vouée à l’échec, les statistiques sont là pour le prouver. Une seule solution, la dépénalisation et la légalisation contrôlée du cannabis. Il faut réfléchir aux moyens de distribution, Centres de soins, pharmacies, hôpitaux… Pourquoi pas des Canna-bistrots sur le modèle des Coffee-Shop hollandais réservés aux résidents français afin d’éviter tout narco-tourisme, s’inspirer du Colorado, de la Californie, de l’Uruguay. Je n’ai pas de réponse mais cherchons les ensemble. Osons puisque de toute façon nous sommes dans l’échec total avec la politique actuelle.
Le contrôle des drogues pourrait rapporter de colossaux revenus au trésor public qui pourrait être alloué à la prévention, libérer les forces de police pour qu’elles puissent agir là où cela est nécessaire, mettre fin à l’économie souterraine, contrôler la qualité des produits, casser le système mafieux. La seule voie efficace est la prévention et non la répression. L’exemple du scandale de la BAC de jour des quartiers Nord de Marseille est la démonstration même de l’échec total de la politique en vigueur. Ne croyez pas que ce soit un cas isolé, c’est partout pareil.
Cette politique est inique et totalement contre-productive. Le blanchiment d’argent sale qui éclabousse les cols blancs et je vous annonce le prochain scandale, les matons dealers en prison. Il a fallut attendre le décret Barzach pour avoir accès à des seringues en pharmacie, 1994 pour avoir accès à la méthadone, les Pays-Bas, le Canada, l’on fait au cours des année 60, juste pour se donner les moyens de sortir de son addiction.
Qui sont les victimes de la toxicomanie, les toxicomanes eux même, bien avant les victimes collatérales de la politique actuelle. On persiste sans jamais oser lever le tabou d’un contrôle par l’état et la loi. C’est une question générationnelle, le temps donnera raison aux anti-prohibitionnistes. Mais pourquoi attendre, pourquoi imposer autant de souffrance encore. La prohibition impose une loi sociale extrêmement difficile pour le toxicomane.
On criminalise des malades psychiques, en France, en 2014. La légalisation permettrait de libérer des places de prison. En 1999, 16,8% des condamnés sont incarcérés pour des histoires de stupéfiant (Source Sénat) combien en 2014? De plus les dealers ont toujours une longueur d’avance, ils modifient la molécule active avant qu’elle ne soit inscrite au tableau des stupéfiants. Vous pouvez trouver toutes drogues sur internet et cela en toute légalité juridique, il existe un célèbre site Néo-Zélandais, créé par un français où toutes les drogues « légalement modifiées » sont disponibles… Livrées en 48 heures, et le « Dark Net ? »
J’ai un ami cultivateur en herbe, il produit trois joints par jours en moyenne sous sa chambre de culture achetée en toute légalité dans un « Grow Shop » à Paris, il ne vend pas, ne cède pas, n’alimente pas de réseaux mafieux, c’est pour sa consommation personnelle, il travaille, est inséré dans la vie, en quoi est-il une menace pour la société ? Certain diront que la sécurité sociale paiera pour son cancer, le tabac tue, l’alcool tue alors interdisons la vente et la consommation de tabac et d’alcool…
Soyons progressistes, audacieux, essayons, la situation ne peux pas être pire. J’entends  Rachida Dati sur BFM TV dire
« On ne guérie pas de la toxicomanie ». Elle a raison mais on peut se rétablir.

J’en suis la preuve vivante, Je ne prends plus de drogue, ni d’alcool.

Paul-Antoine Pichard
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Paul-Antoine Pichard

Des enfants vivant dans les égouts de Roumanie, dans les gares des mégalopoles de l’Inde, dans les prisons des Philippines, dans les mines de soufre indonésiennes… autant de réalités choquantes immortalisées par le photographe français Paul-Antoine Pichard, qui dévoile sa nouvelle exposition.

Poussières de vies, c’est le nom donné aux enfants des rues au Vietnam, et aussi le titre de cette exposition saisissante, qui illustre la volonté de l’artiste de faire réagir.

Poussières de vie - Paul-Antoine Pichard

Tout a commencé en Bosnie.
Poussières de vies germe dans l’esprit de Paul-Antoine Pichard depuis 1995, époque où il s’est lancé comme jeune photographe engagé au cœur de la guerre de Bosnie-Herzégovine. «J’ai constaté l’indifférence des gens envers les enfants gitans. Puis, en parcourant le monde, j’ai vu l’indifférence de tous face aux jeunes dans la rue», raconte M. Pichard. Avant de se concentrer sur ce projet, il a réalisé l’exposition Mines d’ordures, qui raconte en photos le quotidien de ceux qui vivent dans les dépotoirs à travers le monde. Censée être présentée seulement deux mois à Montréal, l’exposition s’est prolongée plus de deux ans et a été présentée partout dans la province. «J’espère avoir un succès aussi fort qu’en 2007», avoue M. Pichard, confiant que les Québécois sauront apprécier des œuvres qui les sortent de leur quotidien confortable.

Poussières de vie - Paul-Antoine Pichard

Des images «douces», des textes violents.
«On me reproche souvent d’esthétiser la misère, de faire des photos trop douces avec des faits choquants», explique M. Pichard.

Ce dernier reste indifférent aux critiques. «Mon but n’est pas de traumatiser, c’est plutôt de marquer les esprits et d’éveiller à l’urgence d’agir», dit-il, ajoutant du même souffle qu’il tient à ce que des jeunes de 12-13 ans soient en mesure de voir ses photos.

Lorsque l’image est trop brutale, comme certaines d’adolescents toxicomanes, M. Pichard utilise les mots pour décrire ce qu’il a vu et vécu. Dans Poussières de vies, il y a ainsi 17 textes «très durs» qui accompagnent les 70 clichés géants.

Poussières de vie - Paul-Antoine Pichard

S’immiscer dans des lieux risqués.
Après 20 ans sur le terrain, M. Pichard sait bien que ses reportages photo ne se réalisent jamais sans risques. «Je n’ai pas envie de mourir pour une photo, mais je fais le choix de me lancer dans des aventures parfois périlleuses», admet-il. Pour réussir ses clichés, il doit quotidiennement jongler avec les autorités, les trafiquants. La collaboration avec les organismes non gouvernementaux (ONG) est essentielle, ajoute-t-il. Par exemple, c’est un avocat d’un ONG à Manille, aux Philippines, qui a réussi à convaincre une directrice de prison de mineurs de laisser M. Pichard photographier durant trois jours les jeunes prisonniers.

Poussières de vie - Paul-Antoine Pichard

Des pistes de solution.
Même si les sujets présentés dans Poussières de vies dévoilent pour la majorité des enfances bafouées, le photographe a tenu à montrer que des solutions sont possibles.

«Pour donner un peu d’espoir à tous, j’ai tenu à montrer un super projet d’orphelinats en Mongolie. Plus de 500 orphelinats ont été construits à même les fonds publics, dans des locaux magnifiques et dans de bonnes conditions d’éducation. Les enfants ont la chance de réussir leur vie dans ces conditions»

raconte-t-il.

Selon M. Pichard, ce n’est pas en laissant les jeunes dans la rue qu’on aide notre société. «Il faut les encadrer, les soigner. Même si chaque pays a ses problématiques particulières, tout est une question de volonté», croit-il fermement.

  1. Alma Corinna

    Je suis reconnaissant à M. Walsh, je suis si heureux que je suis en vie pour témoigner le bon travail de l’huile de cannabis et de guérison miraculeuse, Mon nom est Alma Corinna. On m’a diagnostiqué un cancer du sein il ya trois ans, et depuis, je l’ai fait beaucoup de chimiothérapie et de radiothérapie qui ont m’a pas aidé, mais seulement endommagé mon système immunitaire et me faire faible et sans défense. Je trouvai les larmes de Phoenix et je l’ai lu sur le pétrole Rick Simpson cannabis et ma sœur m’a donné le Dr Walsh contact. Vu que le pétrole serait m’a envoyé ici en Allemagne. Je l’ai contacté pour des médicaments, à ma grande surprise, je suis l’huile. Je commencé immédiatement le traitement. Je suis maintenant ici pour témoigner que vraiment, l’huile fonctionne très bien. Je l’ai connu une transformation totale dans mon secteur de la santé avec Rick Simpson huile de cannabis. Pour les patients atteints de cancer, s’il vous plaît communiquer avec M. Walsh sur son email: drwalshmedicalservice@outlook.com. Merci!

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  2. Karen Anello

    Je ne savais pas l’huile de cannabis était en effet magnifique et très efficace dans le traitement du cancer « si pas pour le gouvernement et leurs règles soi-disant dans la régulation de cannabis mon mari aurait encore été vivant. Grâce à la nouvelle politique pour la légalisation du cannabis dans mon état, j’aurais encore perdu mon fils pour cancer du rein, j’ai été vraiment touché et surpris quand j’ai regarder beaucoup de documentaire sur la façon dont huile de cannabis avait aidé beaucoup de personnes que les membres de leur famille n’ai jamais pensaient qu’ils pourraient rendre après avoir subi plusieurs « Chemo » de la dept of my heart, je dois dire un mot de remerciement à Dr.Rick Simpson pour l’intervention dans la vie de mon fils atteints d’un Cancer du rein. alors que j’écris ce témoignage sur ce Blog mon fils est si fort et saine en dépit, il n’a pas terminé la dose totale « pour votre cannabis et consultation médicale essayer d’obtenir touché avec lui à travers son e-mail : des RickSimpsonmedicaloil@outlook.com pour qu’il puisse vous plus a éclairé.

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  3. Maureen Davids

    Ma mère a été diagnostiquée avec la quatrième étape du cancer du côlon il ya environ un an, elle a eu un parcours très difficile. Elle a eu deux tours de chemotheraphy, un rayonnement de ronde ou Y90 et connaissent maintenant faliure du foie. Ictère, un appétit faible et la dépression sont quelques-uns de ses symptômes. Je me demandais ce que les autres traitements, elle a (par exemple une greffe du foie ou d’un essai clinique) et aussi combien de temps elle doit vivre. Ma mère est mon meilleur ami et héros, elle dure autant que vos proches font aussi, mais un de mes cousins est venu à notre secours en ordonnant l’huile de chanvre d’une Fondation. Jusqu’à présent, le médicament a montré efficace, maintenant ma mère peut faire des choses qu’elle ne pourrait jamais faire avant, je suis si heureux que je décidé d’utiliser ce moyen pour alerter tous les patients atteints de cancer qui avec bonne huile de chanvre, vous pouvez certainement vaincre le cancer. Si vous arrive d’être dans le besoin de ce médicament, vous pouvez communiquer avec le Dr Gareth sur son email: drwalshmedicalservice@outlook.com.

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  4. Floriana

    Mon mari qui a été fortement infecté par le cancer du côlon avec arrive à d’autres parties du corps, il a même été donné 6 mois en direct. Dieu, la vie de la famille était un enfer vivant avec la douleur dans le cœur, mais aujourd’hui, je crier au monde que l’huile de cannabis ont sauver mon mari de mourir. il est toujours vivant et nous sommes dans le 10ème mois. Dieu est si grand aux fidèles.
    Merci au Dr Rick Simpson qui a vendu l’huile de chanvre pour nous que nous avons utilisé dans la guérison de mon mari.
    Une fois encore, je tiens à remercier le Dr Rick Simpson pour sa merveilleuse huile de chanvre nous sommes une famille maintenant heureux avec mon mari vivant, fort et sain. Vous pouvez contacter Dr.Rick Simpson sur chaque question médicale sur son email: Ricksimpsonmedicaloil@outlook.com pour plus d’aide

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    1. modztreh

      Très intéressant, j’ai lu sur la RickSimpsonOil et j’aimerais l’essayer pour mes maux de ventre. La différence entre la RSO et le CBD est la forte teneur en THC dans la RSO.
      Impossible a trouver en France, et surtout interdit a cause du THC. Il faut vivre au Colorado pour en profiter!

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    2. modztreh

      Très intéressant, j’ai lu sur la RickSimpsonOil et j’aimerais l’essayer pour mes maux de ventre. La différence entre la RSO et le CBD est la forte teneur en THC dans la RSO.
      Impossible a trouver en France, et surtout interdit a cause du THC. Il faut vivre au Colorado pour en profiter!

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  5. Becky morgan

    Mon nom est Becky Morgan, mon mari a été diagnostiquer des cancers de la thyroïde sur Juin 2014, il a fait la chimiothérapie, et cela fait qu’empirer les choses jusqu’à ce qu’un ami proche m’a raconté comment elle a guéri son cancer du sein Avec l’huile de cannabis Obtenu à partir de Dr Rick Simpson, je contacté lui à travers son e-mail, Ricksimpsonmedicaloil@outlook.com dans les quatre jours je fus envoyé huile de cannabis attaché avec la dose de prescription sur la façon d’administrer l’huile de cannabis pour le traitement. Après 3 mois de la prise d’huile de cannabis, Nous sommes allés à l’hôpital et le médecin a dit que mon mari était indemne de la maladie de cancer mortel. Nous sommes une famille heureuse maintenant, Merci à Dieu Tout-Puissant et le Dr Rick Simpson qui a guéri mon mari.

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Bon comme un citron bien rond !