HIGH-TECH – Une panne est survenue aux alentours de 21h…

De nombreux abonnés de Free ont eu une mauvaise surprise mardi soir: impossible d’avoir accès à Internet ni à la télévision. La panne affectant leur box est survenue aux alentours de 21h. La situation est revenue à la normale vers 1h du matin ce mercredi.
Aller sur Twitter pour vérifier que l’Internet est mort, comble de notre époque #freebox #free
— Eowine (@Eowine) October 22, 2013
Panne #freebox : drame tragique pour de nombreux couples obligés de se parler à nouveau…ou pire, de lire un livre ! #free
— Benoit Cattanéo (@Ben_Cats) October 22, 2013
Yeahhhhhhhh ma #Freebox renaît pile au moment où le bébé voit le jour dans #BabyBoom ! Gros moment d’émotion pour ma télé… 😉
— Romain AMBRO (@RomainAMBRO) October 22, 2013
Je me suis excité à hard booter 39568 fois ma #FreeBox hier soir pour me rendre compte ce matin que c’était un bug général #Eukay
— Gianniiiick (@GianHoi) October 23, 2013
Pour le moment, Free n’a pas encore communiqué sur cette panne. L’entreprise était injoignable ce mercredi matin. Selon le site spécialisé Univers Freebox, il y aurait eu mardi soir un problème sur les serveurs d’authentification de Free. Les Freebox ne pouvaient pas s’authentifier sur le réseau de l’opérateur. Univers Freebox explique que la panne a touché seulement les abonnés qui venaient de redémarrer leur Freebox. Il se pourrait qu’elle soit donc liée à une surcharge des réseaux après le déploiement de la dernière mise à jour pour le Freebox Player mardi en fin d’après-midi.

Facebook retire finalement une vidéo de décapitation qui faisait polémique
POLEMIQUE – Lundi, le réseau social a de nouveau autorisé la diffusion d’images d’exécutions au nom de la liberté d’expression et d’information. Des contenus qu’il avait interdits en mai…
Après la polémique engendrée par sa décision d’autoriser à nouveau la diffusion de vidéos et d’images violentes, Facebook a retiré mardi soir une vidéo de décapitation publiée sur son site.
«Nous avons réexaminé les récents signalements de contenu violent et nous avons conclu que ce contenu faisait l’apologie de la violence de manière inappropriée et irresponsable, a indiqué l’entreprise californienne à propos de la vidéo de décapitation. Pour cette raison, nous l’avons retirée»
Revirement alors que Facebook défendait la liberté d’information
Ce revirement survient à un moment où Facebook essaie d’harmoniser les différentes sensibilités qui s’expriment sur son réseau – qui compte plus d’un milliard de membres -, tout en affichant sa volonté de s’imposer comme une plateforme de liberté d’expression et d’information.
«Facebook a toujours été une plateforme sur laquelle les gens viennent partager leurs expériences, particulièrement lorsque celles-ci sont liées à des événements controversés (…) comme des violations des droits de l’homme, des actes de terrorisme et d’autres actions violentes. Les gens partagent ce genre de vidéos pour les condamner. S’ils en faisaient l’apologie, ou si les agissements filmés étaient encouragés, on aurait une approche différente», avait expliqué Facebook lundi.
Un effort pour «combattre l’apologie de la violence»
Le réseau social a néanmoins insisté sur le fait que sa décision de retirer la vidéo ne changeait en rien ses règles d’utilisation, mais que les critiques l’avaient poussé à analyser la vidéo de décapitation avec plus d’attention. Facebook a également précisé que, dans un effort pour «combattre l’apologie de la violence» sur son réseau, l’application de ses règles d’utilisation allait être «renforcée».
A la suite des critiques, l’entreprise avait instauré une interdiction de mise en ligne des vidéos de décapitation en mai, avant de faire marche arrière lundi en arguant du fait que le site était habitué au partage d’informations concernant les évènements mondiaux, ce qui comprend les actes terroristes et les violations des droits de l’homme.
Ajout puis retrait d’un avertissement aux contenus violents
D’après des captures d’écran publiées sur plusieurs sites, le réseau social avait ajouté un avertissement à la vidéo de décapitation, précisant que «le contenu de cette vidéo est extrêmement violent et peut être choquant», avant de l’enlever.
Le Premier ministre britannique David Cameron avait qualifié lundi Facebook d’«irresponsable» et avait ajouté que les «parents inquiets» attendaient des explications de la part de la firme américaine. Facebook a notamment été critiqué pour avoir autorisé ce type de contenu violent alors que d’autres contenus, comme les nus, étaient interdits.
Proche-Orient: La guerre des hashtags
WEB – L’armée israélienne et le Hamas ont échangé sur Twitter…
L’armée israélienne et le Hamas palestinien, ennemis sur le terrain, n’ont aucun contact officiel. D’où la stupeur de journalistes et d’internautes quand ils ont assisté mardi à cet échange sur Twitter entre le lieutenant-colonel Peter Lerner, porte-parole de l’armée israélienne (Tsahal) et le compte d’Al Qassam, la branche armée du Hamas.
#Palestine #laterreurnepaiepas
«Tsahal continuera à traquer ceux qui tentent de casser et de défier notre façon de vivre. #laterreurnepaiepas», a écrit Lerner après une opération de l’armée israélienne qui avait coûté la vie à un Palestinien soupçonné d’être impliqué dans l’attaque d’un bus en 2012. Quelques minutes plus tard, réponse d’Al Qassam qui suit donc très attentivement l’activité internet du lieutenant-colonel. «La brigade Al Qassam poursuivra la voie sainte de la lutte et de la #résistance jusqu’à la libération de toute la #Palestine. #sionistes.»
La conversation s’envenime
La conversation s’est ensuite poursuivie et envenimée. «Notre mission est de protéger la vie humaine, toutes les vies humaines», a expliqué Lerner. «Votre mission est plutôt d’enterrer les enfants palestioniens osus les gravats de leurs maisons.», a risposté le Hamas en publiant la photo d’un cadavre d’enfant.
