Une info passée inaperçue – Depuis 2009 toutes les agences de renseignements le savent.
Aujourd’hui la Corée du Nord jubile, l’accord avec l’Iran est du pain béni pour Pyongyang, résultat.
La Corée du Nord confirme avoir réactivé les installations de son principal complexe nucléaire.

Le directeur de l’Agence centrale du renseignement des États-Unis (CIA) affirme que son organisation suit une possible coopération nucléaire entre P’yongyang et Téhéran. Selon le Washington Times et d’autres médias américains, John Brennan a tenu ces propos lors d’une table ronde avec des journalistes organisée à l’université du Texas. Il y a déclaré que la CIA examine si l’Iran tente d’externaliser son programme nucléaire clandestin vers un autre État voyou comme la Corée du Nord.

Le manque d’efficacité du récent accord nucléaire iranien pour éviter la collusion nord-coréano-iranienne pour l’achat secret et le transfert d’armes nucléaires était bien entendu au centre des préoccupations. Brennan a répondu à ces craintes en soulignant que tout était mis en œuvre pour découvrir le moindre indice prouvant cette éventuelle coopération frauduleuse. À propos des articles de presse faisant état de l’alliance nucléaire et balistique entre P’yongyang et Téhéran, le patron des services secrets américains a concédé qu’il ne pouvait prétendre que cela n’arrivera pas.

La Corée du Nord confirme avoir réactivé les installations de son principal complexe nucléaire… P’yongyang confirme avoir réactivé toutes les installations de son principal complexe nucléaire de Yongbyon. Dans un entretien aujourd’hui avec l’agence de presse KCNA, le directeur de son institut de l’énergie atomique a précisé qu’il s’agit notamment du réacteur de cinq mégawatts et d’usines d’enrichissement d’uranium.

Selon lui, le pays communiste ne cesse d’améliorer en qualité comme en quantité ses armes atomiques afin de mieux assurer sa dissuasion nucléaire. Et si les États-Unis et d’autres forces hostiles poursuivent leur politique à son encontre, son pays pourra y répondre à tout moment avec ses armes nucléaires.

La Chine a appelé mardi la République populaire démocratique de Corée (RPDC) à sauvegarder la stabilité sur la Péninsule coréenne, suite à des rapports selon lesquels la RPDC aurait relancé son programme nucléaire. « Nous espérons que, dans les circonstances actuelles, les parties concernées fassent plus de choses favorables pour le maintien de la paix et de la stabilité dans la péninsule et dans la région » a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Hong Lei, lors d’une conférence de presse régulière.

La RPDC a annoncé mardi que son principal complexe nucléaire fonctionnait et qu’elle s’efforçait d’améliorer la qualité et la quantité de son armement. M. Hong a déclaré que la Chine avait toujours œuvré en faveur de la dénucléarisation de la Péninsule coréenne et avait encouragé la paix et la stabilité de la péninsule. « La position chinoise sur le dossier nucléaire de la Péninsule coréenne est constante et explicite. Nous appelons au dialogue et aux négociations pour résoudre le problème » a-t-il réaffirmé. Lundi, P’yongyang a annoncé être entré dans la dernière étape pour développer un nouveau satellite d’observation terrestre, à l’approche du 70e anniversaire du Parti du travail de Corée, une démarche censée constituer une couverture pour déployer des fusées de longue portée ou des missiles balistiques.

P’yongyang envisagerait d’effectuer un tir de missile balistique à longue portée début octobre… La Corée du Nord a suggéré la possibilité d’un tir de missile balistique à longue portée le mois prochain pour le 70e anniversaire de la fondation du parti au pouvoir du pays. L’agence de presse officielle KCNA a cité lundi les propos du directeur de la National Aerospace Development Administration ou NADA, l’Agence d’exploration spatiale de la Corée du Nord. Le directeur a déclaré que l’agence mettait tous ses efforts dans la phase finale de développement d’un nouveau satellite d’observation terrestre pour les prévisions météorologiques. Des fusées utilisées pour le lancement de satellites peuvent également faire office de missiles balistiques à longue portée. Bien qu’aucune date précise n’ait été révélée en interview P’yongyang a indiqué que le tir célébrerait le 70e anniversaire de la fondation du Parti des travailleurs de la Corée du Nord qui a lieu le 10 octobre. La Corée du Nord est déterminée à poursuivre son programme de développement de missiles balistiques à longue portée. (Radio Japon international, le 15-09-2015) Un destroyer AEGIS sud-coréen mis en alerte suite à un possible prochain tir de missile balistique nord-coréen… Face à la menace nord-coréenne de lancement d’une nouvelle fusée à longue portée, Séoul a mis en opération le système de détection d’un destroyer AEGIS de sa marine, actuellement en mer de l’Est. D’après un responsable de la marine, le navire est doté d’un radar multifonctions de détection dénommé SPY-1D. Pour surveiller les missiles balistiques de longue portée, il faut notamment augmenter sa puissance.

Les autorités militaires envisagent aussi de mobiliser un autre destroyer AEGIS, si le lancement de la fusée se précise. Sachez que le premier destroyer AEGIS, baptisé Sejong le Grand, a capté la trajectoire de la fusée nord-coréenne Unha-3 seulement 54 secondes après son lancement en avril 2012. Lorsque le pays communiste avait tiré un autre engin à longue portée trois ans plus tôt, il n’avait fallu que 15 secondes.

D’autres part nous apprenons que près de 100 000 militaires russes mobilisés pour des manœuvres militaires d’ampleur dans le centre de la Russie… L’armée russe a lancé lundi ses plus grandes manœuvres militaires depuis le début de l’année déployant 95 000 soldats dans le centre du pays, selon le ministère russe de la Défense. Ces exercices militaires baptisés Centre-2015, qui dureront jusqu’à dimanche 4 octobre impliquent également le déploiement de 170 avions, 20 navires de guerre et plus de 7 000 pièces d’armement, a précisé le ministère dans un communiqué. Il s’agit des exercices militaires les plus importants de l’année, selon le ministère qui précise qu’ils se déroulent sur 20 sites différents dans le district militaire central de la Russie, qui englobe d’immenses territoires allant de l’Oural à la Sibérie centrale. « La préparation et la capacité de mobilisation des troupes dans les régions de Bachkirie, de Novossibirsk, de Samara et de Tcheliabinsk seront mises à l’épreuve » précise le ministère de la Défense qui indique que la flotte russe de la Caspienne est également mobilisée.

Les manœuvres intègrent des soldats des pays membres de l’Organisation du traité de sécurité collective qui regroupe plusieurs ex-républiques soviétiques. Les militaires testeront à cette occasion leur capacité à contenir un conflit armé international, et simuleront la destruction de groupes armés illégaux dans le cadre d’opérations conjointes, selon le communiqué. Cité par l’agence de presse russe Interfax, le général Vladimir Zaroudnitski, qui commande le district militaire central, a indiqué que les régions de l’Oural, de Sibérie occidentale et de la mer Caspienne, étaient les principales régions concernées par ces exercices. « Des militaires venus du Nicaragua participeront, en outre, en tant qu’observateurs, à ces manœuvres » a-t-il ajouté. La voix de la République islamique d’Iran, le 16-09-2015.

L’ambassadeur de Corée du Nord en Grande-Bretagne menace les États-Unis d’une riposte nucléaire… En cas de guerre dans la péninsule coréenne, la Corée du Nord effectuera une attaque nucléaire contre les États-Unis. C’est ce qu’a déclaré l’ambassadeur nord-coréen à Londres au cours d’une conférence donnée au Think Tank britannique Chatham House. Selon Hyon Hak-bong, si jamais un conflit avait lieu entre les deux Corées, ce dernier ne se limiterait pas à la péninsule. P’yongyang lancerait des bombes atomiques dix fois plus puissantes que celle tombée sur Hiroshima vers le territoire américain. Le haut diplomate nord-coréen a également ajouté que le régime de Kim Jong-un était capable de faire face aux armes nucléaires des États-Unis. En mars, il avait déjà affirmé auprès des journalistes anglais que son pays avait la capacité de lancer des projectiles nucléaires.

Les relations entre la Corée du Nord et l’Iran sont des relations s’exerçant entre un pays d’Asie de l’Est, la République populaire démocratique de Corée, et un pays du Moyen-Orient, la République islamique d’Iran. Elles sont décrites comme étant positives par les agences officielles des deux pays. La Corée du Nord et l’Iran sont les deux derniers membres de ce que l’on appelle l’« Axe du Mal », pays présentés par l’Administration Bush comme souhaitant se procurer des armes de destruction massive et soutenant le terrorisme.

L’Iran dispose d’une ambassade à Pyongyang et la Corée du Nord dispose d’une ambassade à Téhéran.

Depuis les années 1980, la Corée du Nord est l’un des importants fournisseurs d’armes du gouvernement iranien.

Dans les années 2000, 19 missiles balistiques nord-coréens BM25 Musudan, d’une portée de 2 500 à 3 000 km, auraient été vendus à l’Iran, en échange de pétrole.

L’armée nord-coréenne entraînerait par ailleurs des agents iraniens avec des techniques de pointe.

La Corée du Nord a fait savoir le 21 juillet 2015 qu’elle poursuivra son programme nucléaire, excluant du même coup l’ouverture d’un dialogue basé sur celui qui a permis à l’Iran de conclure un accord nucléaire avec les grandes puissances.

« Nous ne sommes pas du tout intéressés par un dialogue sur un gel unilatéral ou l’abandon de notre programme nucléaire. »

Dossier Menace iranienne

Nucléaire Civil rien que du nucléaire civil on vous dit !!!

Les Services de Renseignements américains et sud-coréens révèlent qu’une importante délégation d’ingénieurs nucléaires iraniens se trouve depuis quelques semaines en Corée du Nord, sur le site principal du programme nucléaire nord-coréen, Yongbyon.

Dans un premier temps, les Renseignements pensaient que les Iraniens étaient venus pour obtenir des informations sur les nouvelles centrifugeuses nord-coréennes, dont l’existence avait été apprise avec stupeur par les Américains. Mais en réalité, lorsque le 28 décembre, une partie de cette délégation s’est rendue à Punggye-Ri, lieu sur lequel les nord-coréens veulent effectuer prochainement des essais nucléaires, les Services de Renseignements ont révisé leur jugement : ils estiment désormais que la délégation iranienne est venue pour préparer un essai nucléaire commun entre l’Iran et la Corée du Nord.

Selon une source sud-coréenne, les Iraniens seraient venus avec une importante somme d’argent, au moins 150 millions de dollars, probablement, que Téhéran est prêt à payer pour effectuer cet essai avec Pyong-Yang.

Les Services français de Renseignements corroborent ces jours-ci cette thèse, indiquant « que la coopération nucléaire entre l’Iran et la Corée du Nord s’est développée de manière dramatique ces derniers mois ». D’ailleurs, le Président français Nicolas Sarkozy presse son homologue américain Barack Obama de « prendre des mesures militaires fermes à l’encontre du régime de Pyong-Yang », pas seulement à cause de la crise entre les deux Corée, mais parce que la Corée du Nord profite de cette crise pour fournir des matériaux technologiques que l’Iran ne peut plus obtenir ailleurs du fait des sanctions internationales. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle Téhéran aurait accepté ce nouveau round de négociations, qui lui fera gagner du temps, une nouvelle fois. Une deuxième rencontre est prévue ce mois de janvier à Istambul.

Mais dans la crainte que des convois soient interceptés par les Américains, Nord-Coréens et Iraniens auraient décidé de faire directement des essais nucléaires communs en territoire coréen, ce qui ferait effondrer la politique de sanctions mise en place par Washington et les grandes puissances.

Le 29 décembre, le ministre chargé des Enjeux Stratégiques, Moshé (Boggy) Yaalon a évoqué ce problème : « L’Iran n’a pas encore la capacité de produire une bombe atomique par ses propres moyens, alors elle va tenter de le faire en Corée du Nord ». Peut-être le ministre lançait-il un appel du pied aux Etats-Unis en leur disant :

« Nous, Israéliens, avons réussi à reporter la capacité de production iranienne grâce aux virus informatiques, maintenant c’est à vous de vous occuper de la Corée du Nord, afin qu’elle ne puisse pas servir de roue de secours aux Iraniens ».

Bon comme un citron bien rond !

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