Le Club Med a cherché à savoir à quel avenir
ouvre le métier de gentil organisateur…
Certains sont devenus humoristes (Anne Roumanoff),
D’autres journalistes (Pierre Ménès).
D’autres cinéaste (Luc Besson).
Plusieurs sont désormais présentateurs (Denis Brogniart, Vincent Lagaf’)
ou chanteur, acteur et joueur de poker (Patrick Bruel), et d’autres qui nous ont malheureusement déjà quitté, ( Elie Kakou )
Si avoir été G.O. mène parfois à la célébrité, à quel avenir ouvre plus généralement cette profession? Après avoir passé une ou plusieurs saisons à donner des cours de tennis, à servir des cocktails ou à entretenir des machines, que deviennent les jeunes –la moyenne d’âge est de 24 ans- et gentils organisateurs?
Pour le savoir, le Club Med a lancé une étude inédite auprès d’anciens G.O. et G.E. français, italiens, belges et anglais présentée jeudi.
«Les qualités que nous recherchons lorsque nous recrutons des candidats sont le sens du service, la gentillesse, l’envie de créer du lien et l’enthousiasme», avance Olivier Rozier, DRH pour la zone Europe et Afrique.
«Avec cette enquête, nous avons voulu évaluer l’adéquation entre ces valeurs et celles recherchées par le marché du travail.» «Nous avons également voulu vérifier si nous tenons vraiment les deux promesses que nous faisons aux candidats lorsque nous les recrutons: progresser dans leur métier et se développer personnellement».
l’étude a d’abord porté sur leur insertion.
Résultat: 64% des répondants ont trouvé un emploi dans les trois mois suivant leur expérience au Club Med, dont la moitié en CDI. Un taux qui monte même à 74% chez les Britanniques. «Et à six mois, 90% de nos anciens G.O. ont trouvé un emploi, alors que la plupart d’entre eux ont un diplôme inférieur à bac +2».
Cette insertion est-elle vraiment exceptionnelle?
Difficile de l’affirmer. Mais pour information, sachez que d’après la dernière étude de l’Association pour faciliter l’insertion professionnelle des jeunes diplômés (Afij),
61% des diplômés français sont sans emploi six mois après avoir décroché leur diplôme, et parmi ceux qui ont un emploi, 22% seulement sont en CDI.
Mais quels métiers exercent les anciens G.O.?
Ils travaillent majoritairement (60%) dans l’hôtellerie-restauration, la vente et les fonctions support -ressources humaines, comptabilité-finance, maintenance, etc.
A noter que 30% ont décroché un statut cadre.
Apprentissage d’une deuxième ou troisième langue.
«86% de nos anciens G.O. estiment avoir développé des atouts professionnels importants au Club Med», «Notamment, plus de la moitié (55%) des candidats disent avoir reçu au moins une formation lors de leur passage chez nous.
Par ailleurs, du fait de la mixité des équipes –elles sont composées de 12 à 15 nationalités- 67% déclarent avoir appris une deuxième ou une troisième langue».
Spectacle Extravaganza, Vittel 96, Valérie Treil
Côté développement personnel:
81% des ex-G.O. jugent l’expérience positive.
«Ils pensent avoir gagné en maturité et en connaissance de soi. Ils estiment surtout avoir appris à s’ouvrir davantage aux autres et ils pressentent l’acquisition de ce bon relationnel comme un talent».
Au final, si 90% des anciens G.O. et G.E. recommandent cette expérience, ils sont seulement un sur deux (52%) à la considérer véritablement comme un
tremplin.
L’étude a été réalisée par TBWA et la junior entreprise de l’EM Lyon. Un questionnaire a été adressé à 3.550 anciens collaborateurs français, italiens, belges et anglais, ayant passé entre deux et sept saisons au Club Med. 1.215 personnes ont répondu, soit un taux de retour de 34%.
Le Club Med attire.
Le Club Med recrute chaque année en France 2.000 à 2.500 G.O. et G.E. Sans trop de difficultés, puisqu’il reçoit dans le même temps plus de 50.000 CV.
« Vous avez été gentil organisateur au Club Med? »
Comment avez-vous rebondi après cette expérience?
Vers quel secteur vous êtes-vous dirigé?
Comment estimez-vous que votre passage au Club vous a aidé, ou desservi, dans votre recherche d’emploi? , soyez gentils et témoigné dans les commentaires « Rond comme un citron » que vous trouverez en bas de page.
TÉMOIGNAGES :
Être G.O. au Club Med, et après? «Si on y reste trop longtemps, c’est compliqué de revenir à la vie civile».
Ah, ah, la vie civile, c’est vrai, j’avais oublié que l’on étaient les troufions du rire…
«L’Espagne, l’Égypte, trois fois, l’Italie, la Suisse, les Bahamas, la Guadeloupe et Bora Bora, pour finir.» Et ça, c’est juste le palmarès de Catherine. Restée sept ans dans la «cage dorée» du Club Med.
Alors qu’une étude de l’entreprise de vacances, montrait que 64% des ex-employés ont trouvé un emploi dans les trois mois suivant leur expérience au Club Med, qu’est-ce que cache cette apparente employabilité?
Avoir été G.O., est-ce un coup de pouce ou un boulet à traîner? Les internautes du Citron nous ont répondu.
«Vous avez dû bien vous amuser»
Cette phrase, Annaik, 28 ans, ancienne animatrice du «Password» (équivalent du «Babyclub» pour les ados), l’a entendu plus d’une fois en entretien d’embauche. Assortie d’un large sourire, elle trahit l’idée qui veut que les G.O. sont au Club comme en vacances, principal a priori, et aussi qu’«on est peut-être une fille facile», précise-t-elle, en riant jaune. Christophe raconte avoir parfois fait le déplacement, juste pour assouvir la curiosité des employeurs. «Les gens voulaient voir à quoi ressemble un G.O, analyse l’ancien maître nageur. A l’accueil j’entendais des « C’est lui? C’est lui? » quand je passais, et les seules questions qu’on me posait tournaient autour de pourquoi j’ai fait ça et pourquoi j’ai arrêté.»
«Si vous aviez fait ça dix ans, je ne vous aurais jamais recrutée»
Selon Catherine, c’est tout ou rien. «Hors de question» ou un oui au premier coup d’œil sur le CV, «souvent quand les gens sont déjà venus au Club», estime-t-elle. Il y a aussi ceux qui tolèrent. «Si vous aviez fait ça dix ans, je ne vous aurais jamais recrutée», a un jour rétorqué un futur employeur à Annaik. A force d’écueils, elle a mis trois ans à décrocher un CDI. Refroidie par les recruteurs certes, mais aussi un peu déboussolée. «Je m’ennuyais», avoue la jeune femme. Une fois mal à l’aise dans «une ambiance guindée», une autre avec l’impression d’être «déconnectée». «Il y a un temps de réadaptation», reconnaît Christophe, le temps de sortir de sa «cage dorée».
L’expression citée par Catherine,
monitrice de voile qui a ensuite ouvert une brasserie, puis un tabac-presse, est reprise par tous. «Si on y reste trop longtemps, c’est compliqué de revenir à la vie civile», est persuadée cette internaute de 54 ans.
Avantages en natures, jackpot du GO sportif!
Ses sept ans à elle ont suffi à lui faire oublier le fonctionnement des impôts locaux et le prix d’un caddie plein. «La première fois que je suis sortie faire les courses
j’ai rempli mon caddie, et présenté naturellement un maigre billet de 50 euros à la caisse», raconte-t-elle, encore étonnée.
«On est piqué quand on y est» confirme Annaik, quand Christophe confie sa difficulté à ne plus tutoyer tout le monde.
«Certains pourraient bosser à la Poste sans problème, beaucoup ont replongé»
Tous marqués, ils louent aussi l’efficacité de cette «bulle», tant qu’on se laisse du temps, et qu’«on sait se vendre», estime Nicolas.
«Si je n’avais pas été G.O., nous dit Catherine, je serais restée dans ma campagne à bosser à l’usine», louant «l’école de la vie Club Med».
«A la question, « Peux-tu faire ça? », la bonne réponse était « Je vais essayer et apprendre », se souvient-elle. J’avais peur d’aller sur scène et j’ai fini par monter des cafés-théâtres.» «On peut bosser douze heures par jour trois semaines d’affilée», argue Nicolas et ce «sans droit à l’erreur» complète Annaik, ni permission de ne pas sourire.
« The show must go on« !
Reste à «guérir de ce style de vie» et retrouver «une certaine stabilité».
En poste depuis un an, «un record», Annaik a désormais 28 ans, et se sent prête à se poser. Depuis 2005, Catherine a revendu son commerce et travaille désormais comme responsable dans l’hôtellerie. Nicolas est technicien sur des plateformes offshore en Afrique depuis trois ans, après avoir été capitaine de bateau pour un prestataire du Club Med. Christophe, après avoir tenté de monter un club de plongée à la Réunion, est finalement directeur d’un village de vacances.
«Certains pourraient bosser à la Poste !!! sans problème,
Estime-t-il, beaucoup ont replongé».
>Réaction d’un GO qui à quitter le Club après 22 ans de services:
Installé depuis 15 ans à Bordeaux, ville de grande beauté.
Modztreh trouve rapidement un CDI dans la logistique.
Il exerce le métier au combien intéressant de coursier en Vespa !!!
Il passe ensuite un Bac +2 en informatique, grâce à la formation pour adultes,
et travaille ensuite dans différentes entreprises Bordelaises :
Mairie de Bordeaux, Médecins Sans Frontières, Surcouf.
Le Club lui a donné les outils, il a su les exploiter.
L’habitude des saisons de 6 mois est un handicape.
C’est sûrement un des point important de la démarche de réinsertion
Trouver un endroit qui vous plaise, car vous risquez d’y rester un certain temps.
Faites grandir votre réseau… et élevez vos enfants.
A l’occasion, faites de l’argent…
J’ai été coursier à Bordeaux, pendant 10 ans !!! Que du bonheur.
J’ai vécu l’arrivée du Tramway à Bordeaux en Direct Live. Que du Bonheur!(…).
J’ai passé mon bac à 52 ans, et même un bac +2 en informatique. Que du bonheur.
« La vie après le club doit bien se préparer sinon c’est la galère »
Le problème, quand on sort, c’est qu’on à oublié la liste des courses,
Alors il nous arrive parfois de ramer, ramer, et de s’apercevoir que dehors,
le nez rouge se porte bas!
Et puis, il y a Pole emploi, ou tu arrive sans diplômes à 40 ans.
Les anciens de l’animation connaisse la musique:
Intermittent du spectacle = statut précaire par excellence,
La galère et rien à voir avec la vie de « milliardaire à crédit » que l’on a vécu au Club,
Donc il ne faut pas rêver, seuls les cadres restent cadre à 30%, souvent à l’étranger,
et les GOs de base ayant fait une carrière de 20 années en moyenne se retrouvent dehors à 50 ans.
Il est vrai que notre polyvalence Multi-carte est un grand avantage,
tout comme notre maîtrise des langues et nos autres talents qui sont grandement respectés.
Alors dangers :
Dehors c’est la jungle, là ou sans piston, on ne trouve rien. Ils ne délivrent aucun diplôme pour vos 20 années de service , mise a part la fameuse Validation des acquits professionnels. J’ai commencé à la remplir il y a 15 ans et j’ai jamais terminés: Leur prose étant trop rébarbative !!!
Mais vous pouvez essayer, avec de la volonté, ça marche .
Cela restant souvent le seul moyen d’obtenir un CDI.
Heureusement après de gros efforts, on réussit a trouver un job.
On se fait à L’Entreprise, et on rentre dans le rang. Ou pas…
(la vous pouvez aussi nous raconter vos anecdotes ),
en bas de page « rond comme un citron »
L’image du club, pour beaucoup de gens restent
« les bronzés 1 »,
SEA SEX AND SUN
C’est pas trop un avantage.
Pour se faire recruter en entreprise, on a plutôt une réputation de fêtards, et nos visages sont marqués par 20 ans de carrière.
Style tête brûlé et Bernard Lavillier (du temps de son trip « o Gringo » en 1976, année de mon entrée au Club).
Il nous manque tous nos repères d’antan, ou sont passés les enceintes hurlantes des jeux piscines, les gags improvisés pas toujours de très bon gout (photo GM « chérie, ta pas vu mon i-phone? » ), et les piques niques aux Boucaniers ?( là, c’est du dur…).
Les questions cafés sont maintenant tirées du guide Michelin (c’est qui cuis là ?)
et les spectacles clonés sont délaissés pour les écrans plats dans les chambres !!
Que reste il de nos 20 ans ?
GRIEFS:
Aujourd’hui, on ne vends plus de bonheur. (le bonheur si je veux…) , on doit satisfaire les actionnaires. Et puis, c’est nouveau, il faut savoir courir entre les balles!!! ( Tunisie, Égypte, Israël, Turquie, Maroc, Sénégal )
Et puis ils abandonnent CANCUN !!!, après avoir laché PLAYA-BLANCA, et les livre aux bulldozers.
Les anciens dieux Mayas apprécieront !!!
Le Club fut le premier à mesurer le potentiel de ces endroits magiques et magnifiques, et les voir abandonnés , rasés et remplacés par des Paquebots de béton arrogants, me déprime profondément.,
C’est comme si Vous m’aviez arraché le cœur !!!
Un sacrifice que seul CHAC-MOOL est capable d’ apprécier!!!
PS : Ne parler pas de Pompadour, le sujet respire encore…
Et le sujet énerve (comment se débarrasser du Village chérie des Mammouths du Crab dead, là ou ils ont tous appris à marcher!
C’est pourtant le seul moyen efficace trouvé par la direction pour effacer les années Trigano, table rase et bonjours Shanghai !!! (ou l’Italie).
Le Club Med tombe dans le rouge.
Deux années de très légers bénéfices,
Et revoici le Club Med dans le rouge.
Malgré tous les efforts du PDG, Henri Giscard d’Estaing,
pour améliorer les marges du groupe, le faire monter en gamme et développer son réseau international, le champion des villages de vacances n’échappe pas à la crise du tourisme. Il a essuyé une perte nette de 9 millions d’euros lors de l’exercice annuel clos fin octobre, a-t-il annoncé vendredi 6 décembre.
Les analystes s’attendaient à ce que les résultats restent positifs.
Mais, face au durcissement du marché, le groupe a décidé de tirer un trait définitif sur quatre sites : Hammamet en Tunisie, Dieulefit (Drôme), Pompadour (Corrèze) et Val-Thorens (Savoie). En conséquence, la direction a prévu des frais exceptionnels qui ont fait plonger les comptes. Au total, depuis 2006, le groupe a ainsi accumulé une perte totale de plus de 70 millions d’euros.
Aux commandes du Club Méditerranée depuis dix ans, M. Giscard d’Estaing aurait évidemment rêvé d’un bilan plus flamboyant.
« RÉSISTANCE DU CLUB »
« Dans un contexte exécrable », le maintien d’un résultat opérationnel positif« démontre une nouvelle fois la résistance du Club », juge, dans une note, Guillaume Rascoussier, analyste chez Oddo.
Au même moment, Pierre & Vacances comme le britannique Thomas Cook
affichent des comptes bien plus dégradés. En outre, ces résultats fournissent au fils aîné de l’ancien président de la République un argument en or pour justifier le montant de l’offre publique d’achat (OPA) à laquelle il est associé.
Cet été, plusieurs actionnaires minoritaires avaient jugé beaucoup trop faible le prix de 458 millions d’euros offert par les fonds chinois Fosun et français AXA Private Equity (rebaptisé Ardian) pour mettre la main sur l’entreprise. Et ils étaient allés en justice, gelant l’OPA pour de longs mois –
Rien ne se passera avant la prochaine audience, prévue le 27 février 2014.
Au regard des comptes dévoilés vendredi, le prix sur la table,
qui représente 33 fois le résultat opérationnel de l’exercice écoulé, paraît aujourd’hui plus généreux.
Malgré la force de sa marque, le Club n’est pas immunisé contre les aléas de la conjoncture. Au cours de l’année, il a dû faire face à la baisse du pouvoir d’achat des Français et aux inquiétudes fiscales qui ont incité certains ménages à dépenser moins. A ce phénomène plus fort que prévu, se sont ajoutés les troubles politiques en Egypte et en Tunisie, deux destinations phares soudain délaissées. Au total, la chute du marché des touristes français est estimée à 6 % par le syndicat professionnel. Le Club a mieux tenu le choc que d’autres, et son chiffre d’affaires n’a reculé que de 3,5 % sur l’année, à 1,4 milliard d’euros, notamment grâce à ses efforts auprès de la étrangers. Près de 3 clients sur 10 viennent désormais des pays à croissance rapide.
Le recul de la fréquentation a néanmoins fait reculer le résultat opérationnel de 36 %, et pesé sur l’ensemble des comptes.
POURSUITE DE LA MONTÉE EN GAMME
Tout en fermant certains sites, comme celui de Pompadour qui était le dernier village à n’afficher que deux « tridents », le Club entend poursuivre sa montée en gamme
et son essor international.
Sept projets sont confirmés d’ici à 2016.
En Chine, cible privilégiée du groupe, un troisième village va ouvrir l’été prochain à Dong’ao Island, et deux autres sont dans les cartons.
A Val-Thorens, un nouveau village plus chic remplacera l’ancien site dans un an. Figurent aussi au programme Buzios au Brésil et Oman, deux projets un peu retardés, ainsi qu’une destination pour le ski en Amérique du Nord.
Objectif 2014:
Retrouver dès que possible de la croissance et des résultats positifs.
Les réservations pour l’hiver, en hausse de 5 %, semblent plutôt encourageantes.
Club Med-Recul du CA au T3, réservations d’hiver encourageantes
Le Club Méditerranée a fait état d’un recul de son chiffre d’affaires au troisième trimestre, pénalisé par la baisse des réservations dans ses villages et par la réduction de ses capacités d’accueil en Afrique du Nord.
Le groupe de loisirs a publié un chiffre d’affaires global de 302 millions d’euros en repli de 4% à changes constants, sous le coup de la baisse de 4,9% du volume d’activité des villages.
Au 30 août, les réservations pour l’été avaient accusé un repli de 5,4% pâtissant de difficultés persistantes en Europe et en Afrique conjugué à une baisse de 5,8% des capacités d’accueil, en particulier en Afrique du Nord où plusieurs pays connaissent des troubles politiques.
« Compte tenu des éléments ci-dessus et comme indiqué dans le communiqué de presse du 16 mai 2014, le ROC Villages de l’été sera en recul par rapport à l’été 2013 », indique la société dans un communiqué.
Elle a cependant fait état de réservations « encourageantes » pour la saison d’hiver.
laurent bastien
Hurgada 81 Nathalie Franck et Tim sans oublier ponpon au bar
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VIDAL
où peux t on recruter d’anciens GO?
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modztreh
Sur le site Les dinosaures du club med
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