Comme nos frontières ne servent plus à rien, ce n’est plus la peine d’en parler. Mais il s’y passe des choses ahurissantes, sans qu’on nous le dise.
Dormez braves gens !
Un car de voyageurs français à la frontière de l’Italie et de l’Autriche a vu sa soute ouverte et les bagages pillés en un instant. Par qui ? Par des « migrants ». Qui en a parlé ? Personne.
Les foules de migrants vues par un guide touristique polonais à la frontière entre l’Italie et l’Autriche :
« Ils ont sorti une vieille dame en la tirant par les cheveux et voulaient partir avec sa voiture. »
Le témoignage brutal sur Facebook d’un voyageur qui accompagnait comme guide un groupe de pèlerins polonais revenant d’Italie est repris par plusieurs médias polonais (comme ici par exemple, où il fait un gros buzz). Auteur du blog « Obywatel Świata » (Citoyen du Monde), Kamil Bulonis se dit lui-même très surpris du retentissement de son histoire. Un retentissement d’autant plus grand qu’il s’agit justement d’un citoyen du monde, grand voyageur et homosexuel revendiqué : « journaliste, globe-trotter, gay », ainsi qu’il se décrit sur Instagram. Tandis que sa photo de profil Facebook est bien entendu sur fond arc-en-ciel. Voici donc ce qu’à publié ce parfait gauchiste polonais le 4 septembre dernier au soir :
Il y une heure et demie à la frontière entre l’Italie et l’Autriche [sur la route SS621 en direction du Parc national du Hohe Tauern], j’ai vu de mes propres yeux les gigantesques hordes d’immigrants… Malgré toute la solidarité que je peux ressentir à l’égard de gens qui sont dans une situation difficile, je dois dire que ce que j’ai vu inspire la terreur… Cette énorme foule de gens – je suis désolé de l’écrire –, ils sont d’une sauvagerie absolue… Les vulgarités, les jets de bouteilles, les cris « Nous voulons aller en Allemagne » – l’Allemagne est-elle un paradis aujourd’hui ? J’ai vu comme ils encerclaient la voiture d’une vieille dame italienne, ils l’ont sortie en la tirant par les cheveux et voulaient partir avec sa voiture. Ils essayaient de faire se balancer l’autocar dans lequel je me trouvais avec mon groupe. Ils nous balançaient de la merde, ils frappaient de toutes leurs forces contre la porte pour que notre chauffeur leur ouvre, ils crachaient sur la vitre… Je pose la question : dans quel but ? Comment ces sauvages doivent-ils s’assimiler en Allemagne ? Je me suis senti un moment comme en temps de guerre. Vraiment, je plains ces pauvres gens, mais s’ils venaient en Pologne, je ne crois pas qu’ils trouveraient de la compréhension chez nous. Nous sommes restés bloqués trois heures à la frontière que nous n’avons finalement pas franchie. Tout notre groupe a été transporté de retour en Italie sous la protection d’un cordon de police. Notre autocar a été massacré, il est couvert de matières fécales, rayé, avec des vitres brisées. Et ce doit être la solution au problème du déficit démographique ? Ces hordes de sauvages ? Il n’y avait pas de femmes ni d’enfants avec eux. La grosse majorité, c’étaient des jeunes hommes agressifs… Hier encore, alors que je lisais les nouvelles sur tous les sites Internet, j’éprouvais inconsciemment de la pitié, je m’inquiétais pour leur destinée. Aujourd’hui, après ce que j’ai vu, j’ai peur et en même temps je suis content qu’ils ne choisissent pas notre patrie comme but de leur voyage. Nous, Polonais, nous ne sommes tout simplement pas prêts, culturellement et financièrement, pour accueillir ces gens. Je ne sais pas qui peut être prêt. Ce qui rentre dans l’UE, c’est une pathologie comme nous n’en avons encore jamais vue. Et pardonnez-moi si certaines personnes se sentent insultées par ce que j’écris ici… J’ajouterais encore que des véhicules sont arrivés avec de l’aide humanitaire – surtout de la nourriture et de l’eau – et eux, ils renversaient ces voitures… Par mégaphones les Autrichiens leur faisaient savoir que l’autorisation avait été donnée de les laisser passer la frontière. Ils voulaient les enregistrer et les laisser continuer leur voyage. Mais eux, ils ne comprenaient rien à ce qu’on leur disait. Et c’était le plus horrible dans tout ça. Sur ces quelques milliers de personnes, aucune ne comprenait, ni en italien, ni en anglais, ni en allemand, ni en russe, ni en espagnol… Il n’y avait que l’usage des poings qui comptait… Ils se battaient pour qu’on les autorise à continuer et ils avaient l’autorisation, mais ils ne comprenaient pas qu’ils l’avaient, leur autorisation ! Dans un autocar avec un groupe français, ils ont ouvert les soutes à bagage. Tout ce qui était à l’intérieur a été volé en un instant, il y avait une partie des affaires par terre… Dans ma courte vie, je n’avais jamais eu l’occasion de voir de telles scènes, et j’ai le sentiment que ce n’est qu’un début. Pour finir, je veux ajouter qu’aider, c’est bien, mais pas à n’importe quel prix.
Après les reportages émis par la première chaîne d’information en continue du pays TVN 24 sur le comportement des migrants sur l’île de Lesbos, en Grèce, voilà qui ne va pas inciter les Polonais à accepter les quotas obligatoires de clandestins que l’UE voudrait imposer avec le soutien de Merkel et Hollande. Vendredi, les premiers ministres de Pologne, Tchéquie, Slovaquie et Hongrie ont redit leur opposition à ces quotas et les trois premiers ont exprimé leur solidarité avec Viktor Orbán dans ses efforts pour stopper l’invasion. La Tchéquie et la Slovaquie ont proposé de créer un corridor ferroviaire à travers leur territoire pour emmener en Allemagne les immigrants entrés illégalement en Hongrie, mais ce témoignage montre qu’il faudrait peut-être faire la même chose entre l’Italie et l’Allemagne, puisque celle-ci s’est engagée, sans se soucier de l’invasion et de l’anarchie qui en résulterait sur le territoire d’autres pays européens, à donner l’asile à tous les Syriens et à accueillir dignement tous les immigrants. Ainsi que l’a dit Viktor Orbán à propos de la politique d’accueil et d’incitation à l’immigration de Berlin et de l’UE, ils sont des centaines de milliers cette année, l’année prochaine ils seront des millions.
Le journaliste écrit qu’il s’est cru en temps de guerre, qu’il n’a vu que des hommes jeunes agressifs et violents, d’une sauvagerie absolue, sans femmes ni enfants. Traduisons : il a vu des combattants. Il estime que ce qui rentre en Europe,
« c’est une pathologie comme nous n’en avons jamais vue ».
Le comique de l’histoire, si comique il peut y avoir, c’est que le journaliste qui raconte cela est en principe de gauche. Il se présente comme un gay et globe-trotter, et citoyen du monde, qui n’avait jamais réalisé le problème créé par l’immigration. Auparavant, il s’intéressait aux migrants, avait de la compassion pour eux, aujourd’hui, il se félicite que la Pologne ne prend pas de migrants. Cet épisode qu’il a vécu en direct semble lui avoir ouvert les yeux. C’est sans doute pour cela que personne n’en parle en France : et si le peuple français, qui commence quand même à virer sa cuti, finissait par ouvrir complètement les yeux sur les « migrants » et leur « gentillesse »… ?
Dévastations et menaces de mort : les images du comportement des «réfugiés» en route pour l’Allemagne
Voici une courte séquence d’un reportage de la télévision hongroise où l’on peut voir dans quel état la multitude des prétendus « réfugiés » a laissé derrière elle la gare de Budapest. On y voit aussi un jeune immigrant faisant un geste menaçant en direction de la caméra de télévision :
Ici une caméra filme le comportement d’un groupe de migrants quand la police hongroise leur distribue de l’eau et de la nourriture :
Ici, l’on peut voir un bus qui a servi au transport de migrants :
Et ici les détritus que des groupes de migrants laissent sur le bord des routes de Hongrie :
Le gouvernement allemand va-t-il rembourser la fuite des touristes, le nettoyage et les dévastations subies des îles grecques à l’Autriche ?
Car en affirmant qu’ils accueilleraient tout ce beau monde, les Allemands violent les règles européennes que la Hongrie tente sans succès de faire respecter.
Sans parler des risques grandissants d’une guerre civile à l’échelle du continent à cause d’une Allemagne qui semble aujourd’hui gouvernée par une bande de hippies irresponsables, tandis que Hollande et Valls se soumettent une fois de plus à la volonté de Merkel. À Lesbos, deux jeunes Grecs ont été arrêtés hier après avoir lancé des cocktails Molotov sur des groupes d’immigrants musulmans qui ne respectent rien. « Ne nous obligez pas à devenir des extrémistes », menaçait un habitant de l’île excédé vendredi dernier
La réaction des autorités grecques ? Évacuer le plus vite possible vers le continent les clandestins (qui continuent de débarquer par dizaine de milliers depuis la Turquie) pour qu’ils puissent à leur tour se diriger vers l’eldorado de « maman Merkel » ! Avant d’être redistribués dans toute l’Europe en vertu de quotas obligatoires ?
Mais a-t-on seulement le droit de s’opposer à ces gens qui veulent entrer chez nous et nous détruire ? Une femme hongroise journaliste est devenue la bête noire des « biens-pensants » parce que présente à la frontière, elle a assisté à des débordements. Son sang n’a fait qu’un tour et elle a d’elle-même essayé d’empêcher les faux réfugiés de pénétrer dans son pays, comme quelqu’un de normalement constitué s’oppose par exemple au viol de son domicile. Elle a été licenciée.
On apprend qu’une centaine de ces « migrants » bien élevés viennent d’arriver en bus à Cergy-Pontoise dans le Val d’Oise et qu’ils ont été accueillis par des youyous de joie par les musulmans déjà sur place, par une banderole « welcome », un discours de bienvenue du préfet. Les pompiers leur ont même porté leurs bagages dans les locaux d’accueil. Pauvres pompiers transformés en larbins, on les a connus mieux lotis… Hollande a rendu visite à ces « réfugiés ». Les youyous traduisent bien la fracture sociale. D’un côté des Français qui veulent continuer à vivre comme toujours en France, avec nos valeurs, de l’autre les « complices » de ces énergumènes qui viennent pour nous conquérir et imposer leurs fausses valeurs et leur violence sauvage.
Imposer leurs fausses valeurs ? J’en veux pour preuve une des nombreuses vidéos qui circulent. On y voit un homme allonger la main pour éviter la caméra mais sa main dévie et c’est pour éviter que son épouse, déjà étroitement voilée ne laissant déjà presque plus rien à voir, soit filmée… Quant à leur violence sauvage, elle est caractérisée par des viols abominables qui se multiplient partout et par un fait comme celui-ci : un migrant est entré sans permission dans une maison, à Calais. Il tenait à la main une lame de 21 centimètres de long et est allé directement ouvrir le frigidaire. Ou ces Syriens campant dans un parc à Saint Ouen et qui, chassés par la police, se sont permis de proférer des menaces abominables.
Accueillir des migrants, c’est être fidèle à l’image de l’Europe, a décrété Laurent Fabius. Viktor Orban, lui, dit exactement le contraire. En effet, on peut légitimement se demander en quoi se saborder c’est être fidèle à soi-même. Est-ce être fidèle à l’Europe que de la faire mourir ou de se suicider ? Fidélité et assassinat ou suicide sont deux concepts tout à fait contradictoires.
Subitement, Angela a eu la bonne idée de fermer les frontières de l’Allemagne, mais que s’est-il donc passé pour qu’elle s’y décide ? Quelle pression insupportable, quel crime abominable à la frontière ?… Quels relents de guerre et de barbarie ?
A-t-elle découvert enfin que c’était une invasion et une « pathologie » après avoir fait « maison ouverte » pendant des jours et avoir contraint la France aux mêmes extravagances? On rêve que la vieille dame italienne tirée par les cheveux hors de sa voiture, ce soit en réalité Angela voyageant incognito. Mais elle risque à terme beaucoup plus que cela, elle joue la vie de l’Allemagne, de la France. La Tchéquie, l’Italie remettent aussi les contrôles aux frontières. L’Autriche, la Serbie font appel à l’armée. La France se retrouve isolée dans sa stupidité, mais ouverte à tous vents. Que va-t-il se passer maintenant ? …
A mon avis, rien de bon, à part le spectacle de la course éperdue à la dhimitude dont nous gratifient presque tous ceux qui ont une parcelle de pouvoir : nos élus, nos journaleux, et jusqu’au Pape qui, lui, avait une carte en or : il pouvait très bien choisir tout simplement de se taire. Mais non, il a fallu que, mu par la vanité plutôt que par le Saint-Esprit, il se joigne au choeur des bavards impénitents et déconnectés. Vanitas vanitatum.
Rien de bon ne va se passer à nos frontières, le pire n’est jamais sûr, mais on peut prévoir la reprise de l’accueil des combattants de l’EI, encore plus nombreux, avec des youyous, des fleurs et des préfets.
Attention seulement à l’exaspération croissante des patriotes.
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