La France Mad Max : 5 signes inquiétants.

Mad Max

Après l’économie, on touche désormais aux fondamentaux : liberté de circuler, intégrité physique, sens de la justice : la France n’est pas encore celle de Mad Max, mais la pente est glissante…

Mad marx rené le honzec

Les fictions reflètent nos cauchemars, elles jouent parfois un rôle d’anticipation. En 1979, le premier volet de la saga Mad Max a choqué le monde par sa violence extrême. Le film mettait en scène un monde sans loi, obsédé par la recherche de carburants, un parallèle avec notre actualité récente. Nous n’en sommes pas au niveau de dégradation dépeint par George Miller mais notre pays est sur la mauvaise pente. C’est ce qui inquiète les Français.

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  1. La restriction de la liberté de circulation

Dans l’univers dystopique de Mad Max, il ne fait pas bon voyager car des gangs ultraviolents sévissent et le carburant se fait rare. En France, la liberté de circuler est de plus en plus souvent l’objet de chantage : grèves multiples (SNCF, contrôleurs aériens…), blocages de routes,  ou plus récemment assèchement des pompes. En lieu et place du gang des « War Boys’’ (Mad Max IV), nous avons CGT avec un Philippe Martinez campant le rôle du leader tyrannique « Immortan Joe ». Cette violence qui se pare de mille justifications morales n’est pas neutre. A-t-on pensé aux faillites d’entreprises ? Aux personnes licenciées ? Ou tout simplement aux ambulances coincées dans les embouteillages, mettant en cause la survie des malades ?

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  1. Le développement d’une économie de survie 

La France de François Hollande est prospère à côté du monde de Mad Max mais notre économie est en train de dévisser. Les sièges sociaux quittent le pays, les salariés les mieux payés s’enfuient en Angleterre ou en Suisse. Les troubles sociaux n’ont jamais favorisé les affaires sauf celles de la sécurité privée et des mafias. Nous voyons se développer à grande vitesse une économie d’expédients : travail au noir, activité de récupération,  petits boulots à la sauvette, covoiturage et  locations saisonnières…
L’économie BonCoin est ce que nous hériterons du mandat de François Hollande.

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  1. Un déni de justice généralisé 

Dans Mad Max I, Johnny Boy, membre d’un gang de tueurs et violeurs est relâché par la justice. Les juges français viennent de libérer les agresseurs qui ont tenté d’immoler un policier dans sa voiture, une agression extrêmement grave. Alors qu’on sanctionne la moindre erreur du Français moyen, les magistrats d’extrême gauche se montrent étonnamment complaisants avec les petites frappes, manifestants violents, prédateurs sexuels en tous genres. Les peines sont dérisoires et souvent non appliquées.

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Cette logique du deux poids deux mesures excède les Français. La suite de cette évolution est simple. Nous allons dans les années qui viennent assister au développement d’une justice auto-administrée. Mad Max est sur ce point précurseur. Chaque épisode se termine par la mise à mort souvent spectaculaire des agresseurs. Pas très moral, mais ô combien jubilatoire…

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  1. La violence au quotidien 

La violence dans Mad Max n’épargne personne. Dans le premier épisode de la saga, la femme du héros et son enfant sont sauvagement écrasés par le gang de Johnny boy.  Sans justice, il n’y a pas de paix possible. La violence se banalise en France. Les casseurs de Nuit Debout ont généré des millions de destructions, en toute impunité.  Le terrorisme est désormais une menace dans un pays ouvert à tous les vents et mal protégé. Nous aurons malheureusement encore des attentats d’ici la fin d’année, c’est une certitude.

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  1. La disparition du gouvernement 

Le monde de Mad Max ne connaît pas de gouvernement mais une féodalité brutale et grossière. Que fait Manuel Valls contre les casseurs, qu’ils soient syndiqués ou non ? Rien dans les faits. Le gouvernement s’agite en vain sur les réformes, en faisant beaucoup de bruit pour rien. Que fait le gouvernement contre le terrorisme ?  Peu de choses. Les frontières sont toujours des passoires. Il n’y a toujours aucun contrôle dans les transports en commun, TGV ou RER… C’est symptomatique. Entre l’Europe, l’inertie de la machine étatique, le pouvoir des lobbies et de gangs syndicaux, l’État a perdu sa capacité d’action. Il ne nous reste que le spectacle souvent grotesque du pouvoir. Hollande et Valls dirigent un gouvernement virtuel, un gouvernement hologramme, une illusion d’autorité.

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Que ce soit sur les réseaux sociaux ou dans les dîners en ville, la révolte gronde. Après l’économie, on touche désormais aux fondamentaux : liberté de circuler, intégrité physique, sens de la justice. Les nerfs sont à vif. Les Français sont prêts à tout, y compris à voter FN. L’application duprogramme économique de Florian Philippot, avec ses relents de communisme années 80, serait pourtant catastrophique, ce que même les partisans du FN reconnaissent… Une recette parfaite pour un Mad Max grandeur nature.

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Bon comme un citron bien rond !

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