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Lors des funérailles d’Hallel, la fillette poignardée à mort par un Arabo-palestinien à Kiryat Arba, la maman interpella, le visage dévasté par la douleur et les larmes, la mère de l’assassin de sa fille :

Rena Ariel, maman d’Hallel Yaffa (photo credit:DAVID BRINN)

« J’ai élevé ma fille avec amour, tu as appris à ton fils à haïr ! »

Tout le drame des familles israéliennes ordinaires, obligées de vivre aux côtés de voisins haineux, exprimé en une seule phrase, mais oh combien juste et poignante.

Hallel

 

Secouée par les sanglots, Rina Ariel caresse doucement le linceul bleu recouvrant de corps de sa fille, Hallel Yaffa, 13 ans, lâchement assassinée de 13 coups de couteau dans son sommeil par un terroriste palestinien, avant de lui faire ses adieux.

Adolescente épanouie, élève brillante, passionnée de dance, Hallel était heureuse de vivre. Mais un Arabo-palestinien de 17 ans, l’esprit et le cœur gangrenés par une haine diabolique, décida de mettre fin à sa jeune vie d’une manière brutale pour devenir un « martyr » selon la volonté d’Allah.

Avec le « courage » des lâches, propre aux « martyrs » arabo-musulmans, cet illuminé d’Allah pénétra dans la chambre d’une jeune fille endormie et la poignarda à plusieurs reprises. Le sang d’Hallel, la douce et jolie adolescente, colora sa chambre de rouge. Ce lieu, propice aux rêves des jeunes filles, devint une scène de cauchemar.

chambre d'Hallel

 

En faisant l’éloge funèbre d’Hallel, en présence d’une centaine de parents et d’amis, réunis sur la petite pelouse, à deux pas de leur maison, sa maman lui dit :

ˮ Je te serre une dernière fois dans mes bras. »

Hallel (left) and Rina Ariel (courtesy Adam Propp)

La veille, Hallel avait dansé à Jérusalem avec la troupe de l’école de dance Harikud.

Le lendemain matin, elle était seule à la maison et encore endormie quand un Arabo-palestinien de 17 ans, Mohammad Taraihrah, se glissa dans sa chambre à travers une fenêtre ouverte et mit fin sauvagement à sa jeune vie.

Lors des funérailles, la maman d’Hallel leva son bras et pointa son doigt en l’air en s’adressant à la mère du meurtrier :

« Je suis ici, le cœur plein de douleur et je m’adresse à toi, la mère arabe, la musulmane qui a envoyé son fils poignarder ma fille à mort »

« J’ai élevé ma fille avec amour, mais toi et les éducateurs arabo-musulmans, vous lui avez appris à haïr.

Va remettre de l’ordre dans ta maison »

s’écria-telle, toute tremblante de colère. Ce fut l’un des rares moments dans son bref éloge, où elle ne pleura pas, tandis qu’elle parlait.

Les yeux fixés vers le ciel, elle s’adressa à D.ieu et lui demanda :

« Comment faites-vous l’éloge d’une jeune fille de 13 ans ? Dites-moi, quels mots dois-je utiliser pour faire l’éloge d’une fleur, d’une âme pure, courageuse et merveilleuse ? »

Elle rappela comment elle avait lutté et finalement réussi à mettre son bébé au monde.

« Tu étais un rayon de lumière dans ma vie. Tu fus celle qui fit de moi une mère.ˮ

A Dieu, elle dit :

« vous m’aviez offert un cadeau et maintenant je vous le rends

Rina est certaine que sa fille Hallel irait directement au paradis auprès de Dieu.

« Prenez-là. Elle est la chair de notre chair. Serrez-la dans vos bras pour moi, car je ne pourrais jamais plus la toucher. Faites-lui de la place, pour qu’elle puisse danser

Mais, fit-elle remarquer, il y a eu tellement de victimes des terroristes, en particulier à Kiryat Arba, qui sont aujourd’hui auprès de D.ieu, que cela doit être très peuplé.

Le professeur de dance d’Hallel, Esther Meiron parla aussi d’Hallel, qui, la veille, souriante, dans sa robe blanche, attendait sereine et heureuse, de monter sur scène.

Tel un gracieux oiseau blanc, tu dansas la dance de ta vie !”

Esther était toujours impressionnée par la force et la lumière qui émanaient d’Hallel, quand elle dansait.

Au moment où Hallel était poignardée à mort, seule, chez elle, Esther Meiron reçut un long message de Rina. En la remerciant, la maman lui parla du rôle important joué par la danse et son école dans la vie d’Hallel.

Je répondis :

“Merci. Hallel est exceptionnelle. À peine une minute plus tard, je reçus un message, m’informant d’une attaque terroriste, puis la nouvelle atroce qu’Hallel venait d’être tuée. »

« Je ne comprends pas, comment cela est-il possible ? » se demanda Esther.

« Malheureusement, pendant des années, nous avons dansé à l’ombre de la terreur. Et maintenant, une fois encore, elle a frappé à notre porte, sans prévenir. »

« Nous avons toujours trouvé du réconfort dans la danse, mais cette fois-ci, après la performance de la veille, il m’est impossible de comprendre. »

Elle promit à Hallel :

« Nous continuerons à danser, malgré le chagrin et un jour, nous danserons aussi de Bonheur. »

Une nouvelle étoile a rejoint le firmament. Repose en paix, Hallel, gracieuse et merveilleuse danseuse, toi qui souriait confiante à la vie, entourée de l’affection et de l’amour des tiens.

hallel yaffa ariel (16)

Tandis que la maman juive pleurait, le cœur déchiré par la douleur, la mort de sa fille, la mère du terroriste se réjouissait du crime perpétré par son meurtrier de fils

Une haine féroce, fanatique, diabolique a brisé tes doux rêves et le cœur de ta maman à tout jamais.

ˮ Assez ! Trop de parents enterrent leurs enfants, trop d’épouses enterrent leur bien-aimés, trop d’enfants enterrent leurs parents ! Assez ! cela doit s’arrêter ! ˮ

s’exclama Yeduha Glick, qui participait aux funérailles en compagnie d’autres personnalités.

L’ignoble assassin de la jeune Hallel a été abattu.

Tandis que la maman juive pleurait, le cœur déchiré par la douleur, la mort de sa fille, la mère du terroriste se réjouissait du crime perpétré par son meurtrier de fils et exultait de fierté.

mother of terrorist

« Mon fils est un héros, il m’a rendue fière. Mon fils est mort en martyr pour défendre Jérusalem et la mosquée al-Aqsa. Qu’Allah soit loué, le Seigneur des Seigneurs, il a rejoint les autres martyrs et il n’est pas meilleur qu’eux. Si Allah le veut, ils suivront tous ce chemin, tous les jeunes de Palestine. Qu’Allah soit loué »
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Mais quelle mère peut exprimer se fierté d’avoir un fils assassin, un fils lâche qui poignarde à mort une jeune fille endormie ?

Réponse : une mère musulmane palestinienne.

Quelle mère peut se réjouir de la mort de son propre fils, devenu un soi-disant martyr pour avoir brutalement assassiné une jeune fille innocente ? 

Réponse : une mère musulmane palestinienne.

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« Les femmes palestiniennes jouent un rôle très important dans l’éducation de leurs enfants et les encouragent à mener le djihad pour la cause d’Allah.

C’est le devoir le plus glorieux qu’une femme puisse accomplir. Les femmes jouent leur rôle et ne sont pas inférieures aux hommes.

Quand un homme va faire le djihad, sa femme ne dit pas ‘N’y va pas’ et n’essaye pas de l’arrêter. Au contraire, elle l’encourage et le soutient. Elle est celle qui prépare son équipement [de mort], lui fait ses adieux et le félicite pour sa décision héroïque. [se faire exploser en tuant le plus possible d’innocents]

Elle inculque à ses enfants l’amour du djihad et du martyre pour la gloire d’Allah. Si toutes les mères empêchaient leurs fils de faire le djihad pour la cause d’Allah, il n’y aurait plus personne pour mener le saint djihad, qui soutiendrait alors la Palestine, cette Palestine qui nous chérissons et pour laquelle nous sommes prêts à payer le prix en lui sacrifiant nos vies, notre sang.

La récompense d’Allah n’est-elle pas précieuse ? La récompense d’Allah est le paradis et il exige de nous notre sang, l’offrande de nos vies pour l’amour d’Allah !

Le djihad est un ordre divin. Il est de notre devoir de mener le djihad…

Nous aspirons à mourir en martyrs. Je prie constamment Allah pour que ma vie, celle de mes enfants, celle de mon mari se terminent dans le martyr.

Aucun de nous ne souhaite mourir dans son lit. Nous prions Allah, pour qu’il nous accorde son paradis. »

Celui qui soutient la cause palestinienne soutient aussi la secte ignoble des assassins qui glorifient le meurtre des innocents !

 

 

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Photo de Anne Ghys.

ASSASSINÉE A 13 ANS !
MAIS QUELLE IMPORTANCE, C’ÉTAIT UN COLON ………

Entendu sur une radio du service public : « Les colons israéliens en colère après la mort d’une des leurs ». « Une des leurs » ? Une « colon » donc ? Elle avait 13 ans ! Gagné par la nausée, j’ai fermé le poste. Quelques années auparavant, on avait pu lire dans nos journaux : « Quatre colons israéliens dont deux enfants tués par des Palestiniens. » Des « enfants-colons » donc ? Non, des enfants.

Le conflit israélo-palestinien fait couler beaucoup d’encre. En France, elle est particulièrement sale. Sous ces flots dégoulinants de bien-pensance, elle noie définitivement ceux qu’elle déshumanise pour mieux humaniser ceux qui les assassinent. On pourrait imaginer, la neutralité s’imposant, une phrase du genre : « Une adolescente israélienne tuée. » Ou : « Une fillette israélienne poignardée » (non, pas « fillette », ça inspirerait trop la pitié…). Rien de tel. L’assassinée sera pour toujours, selon des médias formatés, « une des leurs ». Une colon. Quand on pleure d’abondance sur Gaza, impossible de verser une seule larme sur Kyriat Arba (l’implantation où a eu lieu le meurtre)…

Hallel Yaffa Ariel, 13 ans, poignardée à mort dans son lit par un terroriste palestinien à Kyriat Arba, en Cisjordanie, le 30 juin 2016. (Crédit : autorisation de la famille, Yonatan Sindel/Flash90)

La Cisjordanie où la jeune Israélienne a été tuée dans son sommeil est ce qu’on appelle un territoire occupé. En effet, elle ne fait pas partie historiquement (pour les puristes, je parle ici de l’Histoire récente, pas de l’Histoire biblique) d’Israël. Va donc pour territoire occupé… Au bout de cette logique desséchée, il y aurait donc des occupants et des occupés. Ces derniers – qualifiés de « résistants » – auraient toute légitimité à s’insurger contre les premiers. Admettons. La France fut, de 1940 à 1944, occupée par les Allemands. Des résistants, des vrais, faisaient le coup de feu contre eux. Avec l’armée allemande, il y avait – services administratifs, services de propagande – des femmes avec leurs enfants. Connaît-on un seul résistant français qui aurait tué une petite Allemande de 13 ans ?

L’homme qui a assassiné la petite Israélienne est juste un assassin de la pire espèce. Un infâme tueur d’enfants. Et maintenant, redonnons à la victime son identité. Elle s’appelait Hallel Yaffe Ariel. Elle venait des Etats-Unis. Un kaddish pour Hallel Yaffe Ariel. Et pour ceux, fort nombreux je suppose, qui ne connaissent pas cette prière juive, un « Notre Père » fera l’affaire. Le « Notre Père » est l’enfant direct et légitime du Kaddish.

Hallel

 

Bon comme un citron bien rond !

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